Motifs de consultation

De nombreux troubles psychologiques et psychosomatiques peuvent être traités, apaisés. Votre psychologue est là pour vous accompagner dans un soin adapté à votre problématique.

Mieux vous connaître, être en accord avec vous-même

Il existe des passages dans sa vie, où l’on se pose des questions, où l’on doit choisir une direction.

Il s’agit de  dénouer  ses conflits intérieurs,  pour être plus serein, apaisé,  et  décider, agir en répondant à son désir,  à ses convictions et peut être à ses rêves personnels.

C’est ainsi que vous deviendrez encore plus autonome, et trouverez  ainsi votre propre créativité.

Traverser une dépression

Peut – être vous demandez vous ce qui s’est passé, pour vous retrouver dans » cet état », vous êtes à bout, sans solution : le trou noir.

Pourtant vous pouvez vous en sortir.

Fatigue, peine à se lever le matin, pertes de mémoire, tristesse, difficulté à sortir, communiquer avec les autres, à réfléchir.

Il peut exister une cause précise, une maladie, une perte, un traumatisme,  et parfois cela peut survenir alors que tout semble aller bien par ailleurs. On a pu apprendre au cours de sa vie à s’en sortir tout(e) seul(e), en s’adaptant, peut être depuis son enfance,  avec ses propres mécanismes de défense, afin de se protéger et d’avancer dans sa vie.

Mais aujourd’hui, cela ne fonctionne plus, ce n’est plus efficace. Vous êtes à nouveau confronter à la douleur d’exister, une situation existentielle que  la plupart d’entre nous peuvent rencontrer à un moment de sa vie. Il s’agit alors de s’occuper de ces blessures conscientes et inconscientes, très souvent nées dans l’enfance lorsque vous étiez plus vulnérable.

Les médicaments peuvent être une aide considérable, pour se sentir soulagé à court terme, mais cela ne remplace pas une psychothérapie.

Se confronter à l’infertilité

Devenir parent ne va pas de soi. Concevoir un enfant  non plus.

Le désir d’enfant  peut parfois se transformer en un projet difficile et douloureux si le corps ne répond pas et conduit vers une démarche médicalisée.

« Un enfant si je veux, quand je veux ».

Avec les nouvelles techniques de procréation, ce slogan s’est transformé en exigence de maternité et de paternité qui laisse trop souvent la dynamique psychique. Ces techniques s’avèrent s’intéresser surtout à une capacité procréatrice, en conformité avec une idéologie techniciste de la science pour laquelle l’échec n’a pas de place. Et pourtant, beaucoup échouent. Penser pouvoir maîtriser les processus de procréation peut en arriver à créer de l’illusion.

De nombreux freins inconscients inhibent parfois les processus psychiques nécessaires à la conception d’un enfant. Il est à votre portée avec l’aide d’un psychothérapeute de découvrir quels facteurs psychiques sont à l’œuvre en vous pour bloquer la possibilité d’une procréation ; que vous soyez homme ou femme. Les réponses seront singulières. L’organisation psychique est suffisamment puissante pour mettre en place des défenses contre la possibilité même d’une grossesse, par exemple ; elle est capable d’inhiber tel ou tel mécanisme physiologique de la reproduction.

Une thérapie analytique permettra donc de s’interroger adéquatement sur les facteurs contribuant à la mise en place et à l’insistance de forces contraires à la réalisation de votre désir. De nombreuses causes possibles sont à prendre en compte : secrets de famille concernant la filiation, complexité des liens qui se sont tissés dans l’enfance avec l’un ou l’autre des parents, antécédents de traumatismes, etc. Tout désir d’enfant est singularisé par l’histoire du développement psycho-sexuel.

En attendant, les deux sexes vivent la stérilité comme une souffrance, une impuissance,  une douleur. Son impact sur l’identité de chacun et sur celle du couple est considérable. Les techniques, les prescriptions visant à une facilitation de la procréation entament souvent l’intimité, la complicité, la sexualité du couple. Ces processus mécanisés en arrivent souvent à inhiber la puissance du désir, à infliger une organisation qui finit la plupart du temps par dénaturer la rencontre.

L’approche de l’haptonomie peut soutenir ce désir, et accompagner la démarche.

Surmonter un traumatisme

Un événement est dit « traumatique » lorsqu’une personne s’est trouvée confrontée à la mort, à la peur de mourir ou à de graves blessures, ou lorsque son intégrité physique ou celle d’une autre personne a été menacée. Cet événement aura provoqué une peur intense, un sentiment d’impuissance ou un sentiment d’horreur.

On parle aussi de stress post-traumatique (TSPT). Si vous développez un stress post-traumatique, vous êtes sujet/te à certains de ces symptômes :

Vous revivez sans cesse la scène traumatique en pensée ou en cauchemar.

Vous cherchez à éviter –volontairement ou involontairement- tout ce qui pourrait vous rappeler de près ou de loin le trauma.

Vous vous sentez à fleur de peau, dans un état de vigilance, malgré l’absence de danger imminent.

La question qui revient le plus souvent face à un traumatisme est « pourquoi » ? « Pourquoi ai-je été maltraité/e, violé/e, pourquoi ai-je eu cet accident ? » Certain/es s’en remettent spontanément en l’espace d‘un ou deux ans. Si vos difficultés persistent au-delà de six mois, il est utile de consulter un professionnel de santé psychique.

Certaines aptitudes personnelles favorisent ce qu’on appelle la « résilience »

Nous ne sommes pas tous égaux devant la résilience. Certains réussissent mieux que d’autres à surmonter les épreuves de la vie. L’histoire personnelle de chacun est un facteur déterminant. La résilience s’ancre dans les tous premiers contacts du bébé avec sa mère. Ceux–ci constituent le socle de développement sur lequel le bébé, l’enfant puis l’adulte s’appuieront. Si cet environnement a été suffisamment sécurisant, l’attachement suffisamment prégnant, la personne a pu se construire avec une confiance en elle et en les autres qui lui permet d’être résiliente. Elle peut réussir à tirer profit de l’adversité.

Il est également possible de surmonter un traumatisme si, au lieu d’essayer de l’enfouir, vous décidez de le parler ; si vous accueillez les pensées liées au trauma au lieu de vouloir les chasser, elles finiront par disparaître. La thérapie propose de les tolérer, sans les subir.

L’approche ICV (intégration du cycle de vie), peut vous aider à l’intégrer dans votre histoire, en apaisant l’impact émotionnel dans le présent.

Trauma

Les questions liées au travail

Vous sentez vous assez reconnu au travail ? Êtes-vous fait pour ce que vous faites ?

L’histoire familiale et les parcours des ancêtres, les figures parentales et la fratrie sont au cœur de la construction identitaire de chaque individu et par conséquent, sont au cœur de la construction du chemin de vie et des choix professionnels. La conscience de ce fait permet de mettre en évidence l’ampleur de ces impacts et d’identifier des options pour que chaque individu reconnaisse ses propres ressources, valeurs, besoins, qualités et construise sa vie en lien avec sa personne.

Comment pouvons-nous comprendre et résoudre certains blocages, mieux nous réaliser en traçant plus librement notre propre chemin, loin des scénarios de répétition familiaux ? Voici quelques questions que vous vous posé peut être :

Vous éprouvez un sentiment d’illégitimité ?

Vous avez peur de perdre votre travail ?

Vous êtes en conflit avec vos collègues ?

Vous ne savez plus où vous en êtes ?

Votre psychologue peut vous accompagner dans cette réflexion, et vous aider à apporter plus de clarté.

Sortir du burn-out

Il est nécessaire d’identifier clairement comment/pourquoi les exigences professionnelles dépassent/ont dépassé vos ressources personnelles et découvrir les qualités dont vous disposez pour y faire face.

Le burn-out résulte d’un déséquilibre entre les forces personnelles et la/les situations potentiellement stressantes. La meilleure façon de l’éviter est bien sûr d’en connaître les signes indicateurs : épuisement physique, psychologique, émotionnel qui vous rend trop irritable ; vous devenez plus agressif, cynique ou « cassant » avec vos proches ou vos collègues, vous vous repliez sur vous-même. Il vous faut de plus en plus de temps pour arriver aux mêmes résultats qu’avant et vous n’éprouvez peut-être plus aucune satisfaction professionnelle. N’attendez pas d’en arriver là

Vous avez peut être besoin tout simplement de faire le point.

Ce syndrome est très connu en lien avec l’investissement professionnel, mais il peut également concerner des mères au foyer qui manifestent les mêmes symptômes dans leur fonction auprès des enfants et de la famille.

Certains sont plus exposés que d’autres au burn-out. Ses causes ne sont pas seulement « externes ». Celui-ci est lié à l’estime, à la confiance qu’on peut éprouver ou non en soi. A la façon dont on s’affirme, dont on peut avoir honte ou pas, culpabiliser ou pas. Au rapport au perfectionnisme, à la peur de décevoir, à la hiérarchie. Vous pouvez devenir votre propre « bourreau « et  vous ressentir comme le/la seul/e responsable de ce qui arrive.

Quelques jours de congés ne suffiront pas à sortir de cette souffrance. Il est essentiel de pouvoir en parler, de se sentir soutenu sans être jugé. Pris en charge trop tardivement le burn-out peut avoir des conséquences importantes tant sur le plan individuel (dépression, conflits familiaux) que sur le plan professionnel (baisse de productivité, absentéisme, etc.)

Ne vous laissé pas brûler de l’intérieur (burn) Ne risquez pas une paralysie physique et mentale qui vous tiendra en dehors de la possibilité d’agir quoique ce soit (out).

Prenez soin de vous, et prenez soin de ceux que vous aimez .

Votre psychologue vous accompagnera dans votre cheminement.